•     •   13 min read

Comment gérer efficacement les tâches : 15 conseils pour réussir.

Nous enten­dons par­ler de pro­jets réus­sis assez sou­vent. Mais nous devons réalis­er que tout pro­jet se com­pose de tâch­es de dif­férentes échelles et com­plex­ités. Par con­séquent, de manière glob­ale, l’achève­ment réus­si du pro­jet dépend en grande par­tie de la manière dont chaque tâche indi­vidu­elle est accom­plie avec succès.

Voici quelques infor­ma­tions sur la ges­tion des tâch­es, qui vous aideront à ren­dre le tra­vail d’équipe plus efficace.

Qu’est-ce que la ges­tion des tâch­es et pourquoi est-elle importante ?

Par­fois, une sit­u­a­tion survient dans les équipes où cer­tains employés tra­vail­lent à pleine capac­ité et font la plus grande par­tie du tra­vail, tan­dis que d’autres sont à peine chargés. Pour éviter cela, il est néces­saire de met­tre en œuvre une ges­tion des tâch­es sys­té­ma­tique et intelligente.

La ges­tion des tâch­es est un proces­sus mul­ti-niveaux qui tra­vaille avec les tâch­es : de la plan­i­fi­ca­tion et de la descrip­tion à l’ac­cep­ta­tion des résul­tats, à la cor­rec­tion des erreurs et, si néces­saire, à la répétition.
La ges­tion des tâch­es implique la ges­tion de tous les com­posants des tâch­es : le temps, l’ar­gent, les ressources humaines, l’équipement, etc.

La ges­tion des tâch­es est une par­tie impor­tante de la ges­tion de pro­jet. Si l’équipe né sait pas com­ment gér­er les tâch­es effi­cace­ment, la ques­tion de la façon de gér­er effi­cace­ment, de respecter les délais et, en fin de compte, de ter­min­er le pro­jet avec un résul­tat sat­is­faisant se posera certainement.



Nous pou­vons égale­ment dire que la ges­tion de pro­jet con­siste à avoir la capac­ité de voir l’ensem­ble de la sit­u­a­tion, tan­dis que la ges­tion des tâch­es con­cerne le tra­vail à un niveau micro, qui con­stitue le suc­cès global.

La ges­tion des tâch­es est très impor­tante, car de nom­breux prob­lèmes en dépen­dent, comme :
  1. un niveau de pro­duc­tiv­ité d’équipe con­stam­ment élevé grâce à une répar­ti­tion équitable de la charge de travail ;
  2. le pro­grès du pro­jet selon le cal­en­dri­er, car tout est plan­i­fié et il est clair com­bi­en de temps prend l’achève­ment d’une tâche et si tout est ter­miné à temps ;
  3. la cohérence du tra­vail même dans les grandes équipes, égale­ment grâce à ce que l’on appelle les tâch­es inter-équipes, lorsque des employés de dif­férents départe­ments tra­vail­lent sur la même tâche ;
  4. l’op­ti­mi­sa­tion de la prise de déci­sion, ce qui est dû au fait qu’un tra­vail bien struc­turé avec des tâch­es per­met à tout moment de com­pren­dre l’é­tat actuel du pro­jet et de pren­dre des déci­sions basées sur des don­nées actuelles.

Com­pé­tences en ges­tion des tâch­es et moyens de les améliorer

Essen­tielle­ment, les com­pé­tences en ges­tion des tâch­es sont ce que l’on appelle des soft skills. Elles peu­vent dif­fér­er pour dif­férents spé­cial­istes, mais il en existe égale­ment des uni­verselles, par exem­ple, la ges­tion du temps, qui est essen­tielle pour tout le monde. De plus, il est très impor­tant qu’un chef de pro­jet sache pri­oris­er, déléguer, con­trôler plusieurs tâch­es à la fois et com­mu­ni­quer effi­cace­ment, ain­si que résoudre des con­flits si nécessaire.

Par­mi les com­pé­tences en ges­tion des tâch­es pas si évi­dentes fig­urent égale­ment les suivantes :
  • La capac­ité à dire non”. Cela vous per­me­t­tra de né pas effectuer un tra­vail qui né vous rap­proche en rien de l’ob­jec­tif, mais que vous faites pour vous-même et pour une autre personne.
  • Aban­don­ner les habi­tudes qui tuent la pro­duc­tiv­ité. Par exem­ple, essay­er de faire la tâche par­faite­ment là où un résul­tat sat­is­faisant est égale­ment suff­isant. Il est très prob­a­ble que lorsque le résul­tat est enfin par­fait, il né sera plus nécessaire.
  • Con­trôle de la pro­cras­ti­na­tion. Presque tout le monde y est sujet dans une cer­taine mesure, et si la pro­cras­ti­na­tion n’ar­rive pas sou­vent, elle né pose pas de men­ace. Mais lorsqu’elle devient incon­trôlable, les tâch­es s’ac­cu­mu­lent sur vous comme une avalanche.
  • Com­pren­dre qu’il est impos­si­ble de tout con­trôler. Peu importe la manière dont vous plan­i­fiez con­scien­cieuse­ment votre tra­vail, des imprévus survien­dront tou­jours dans la ges­tion quo­ti­di­enne des tâch­es. Par con­séquent, prévoyez sim­ple­ment un peu de temps sup­plé­men­taire pour les tâches.
  • Prise de déci­sions et respon­s­abil­ité à leur égard. Par exem­ple, quelqu’un pro­pose un nou­v­el out­il qui aug­mentera l’ef­fi­cac­ité du tra­vail. Mais cela demande du temps et des efforts pour l’in­té­gr­er. Ain­si, le respon­s­able doit avoir le courage de dire qu’il com­mencera à utilis­er l’outil. Il doit expli­quer ses avan­tages et gér­er les con­séquences en cas d’ab­sence d’ef­fet attendu.

15 con­seils pour une ges­tion effi­cace des tâches

Tout comme dans la ges­tion de pro­jet, il y a sou­vent cinq étapes dans la ges­tion des tâch­es : l’ini­ti­a­tion, la plan­i­fi­ca­tion, l’exé­cu­tion, le suivi et le con­trôle, et la clô­ture. S’il y a un prob­lème à l’une des étapes, cela affectera cer­taine­ment le pro­jet dans son ensemble.

S’il n’y a pas de objec­tif claire­ment défi­ni, alors l’achève­ment de la tâche est une grande question.
Par con­séquent, il vaut la peine de pren­dre le temps de rechercher et de décrire claire­ment à quoi sert la tâche et com­ment elle va affecter le pro­jet dans son ensemble.

Cela a égale­ment été con­fir­mé en 2017 par le PMI Glob­al Project Man­age­ment. L’é­tude menée a démon­tré que 37% des dirigeants pensent que la prin­ci­pale rai­son de l’échec des pro­jets est le man­qué d’ob­jec­tifs et de jalons claire­ment défi­nis pour mesur­er les progrès.

Par­mi les fac­teurs qui affectent néga­tive­ment le suc­cès des pro­jets, on trou­ve le man­qué de dis­ci­pline lors de la mise en œuvre de la stratégie. Voici des con­seils pour vous aider à éviter ces problèmes.

Divisez vos pro­jets de grande enver­gure en tâch­es plus petites
Tout pro­jet, même le plus com­plexe, se com­pose de par­ties. Pour réus­sir, il est préférable de divis­er le pro­jet en étapes dès le départ, de not­er les tâch­es glob­ales pour cha­cune d’elles, puis de les divis­er en petites tâch­es tactiques.

De cette manière, vous sur­veillerez la façon dont les tâch­es tac­tiques sont exé­cutées. Si un prob­lème appa­raît avec une tâche par­ti­c­ulière, il sera plus facile de le résoudre et de pass­er à autre chose. Lorsqu’il n’y a pas de liste de tâch­es, mais seule­ment le pro­jet en tant que tel, il est presque impos­si­ble de not­er les dif­fi­cultés à temps. Et sou­vent, une tâche petite et peu impor­tante, comme elle peut sem­bler, met en dan­ger l’exé­cu­tion du pro­jet dans son ensemble.

Faites des listes de tâches
Une bonne mémoire est for­mi­da­ble. Mais elle a aus­si des lim­ites. Et vous né devez pas sur­charg­er votre cerveau en essayant de tout mémoris­er, surtout lorsque vous gérez plusieurs pro­jets simul­tané­ment. Il est plus judi­cieux de faire une liste de tâch­es pour dif­férentes péri­odes : un jour, une semaine, un mois. Vous pou­vez véri­fi­er ce qui a déjà été fait. Bien sûr, la liste peut né pas être dans un car­net, mais, par exem­ple, dans une appli­ca­tion ou un pro­gramme spécial.



Con­servez vos tâch­es au même endroit
Comme men­tion­né précédem­ment, les chefs de pro­jet gèrent sou­vent plusieurs pro­jets. Par con­séquent, il y a de nom­breux prob­lèmes qu’ils doivent garder à l’e­sprit. Chang­er con­stam­ment entre dif­férents ser­vices (ou car­nets, si cela vous con­vient mieux) n’est pas la meilleure idée. Dans le meilleur des cas, il vous sera dif­fi­cile de répon­dre rapi­de­ment à la ques­tion d’un col­lègue d’une cer­taine équipe. Dans le pire des cas, un car­net lais­sé à la mai­son ren­dra votre journée chaotique.

Par con­séquent, il est préférable de choisir un pro­duit qui vous aidera à gér­er plusieurs pro­jets dans une seule inter­face et à avoir toutes les tâch­es à portée de main à tout moment.
Fix­ez des délais
Lorsqu’une per­son­ne com­prend l’échéance d’une tâche par­ti­c­ulière, elle plan­i­fie son emploi du temps plus effi­cace­ment et essaie de réduire la con­som­ma­tion de temps non pro­duc­tif, par exem­ple, les longues paus­es café ou la véri­fi­ca­tion de son smartphone.



Les actions suiv­antes aident con­sid­érable­ment à ter­min­er les tâch­es à temps :
  1. avoir un plan détail­lé pour la journée ;
  2. être capa­ble de blo­quer les distractions ;
  3. trou­ver quelque chose ou quelqu’un qui vous motive ;
  4. utilis­er un suivi du temps.

Com­mencez par de petites tâches
Le coach d’af­faires David Allen, dans sa méth­ode Get­ting Things Done (GTD), con­seille d’ac­com­plir les tâch­es qui pren­nent quelques min­utes dès qu’elles survi­en­nent. Par exem­ple, répon­dre immé­di­ate­ment à une ques­tion d’un client dans le mes­sager. Ain­si, vous êtes moins sus­cep­ti­ble d’oublier.

Impli­querez-vous dans le tra­vail d’équipe
Par­fois, il sem­ble aux respon­s­ables qu’ils ont mis en place tous les proces­sus dans l’équipe, donc les col­lègues pour­ront gér­er sans eux. En fait, ce n’est pas le cas. Vous devez rester infor­mé. Vous n’avez pas besoin de con­trôler tout le monde, mais restez en con­tact afin de pou­voir être con­sulté rapi­de­ment s’il y a des problèmes.

Con­cen­trez-vous sur une tâche à la fois
Bien qu’un plan de ges­tion de pro­jet ait générale­ment un grand nom­bre de tâch­es, dont beau­coup doivent être effec­tuées aujour­d’hui, né ten­tez pas de réalis­er plusieurs tâch­es à la fois. La recher­ché a depuis longtemps mon­tré que cette méth­ode n’est pas effi­cace lorsqu’il s’ag­it de tra­vail men­tal. Il est plus pro­duc­tif d’ac­com­plir une tâche ou une par­tie de celle-ci puis de pass­er à une autre.

Lim­itez le nom­bre de tâch­es pour une journée
Il y a une règle des trois”, qui dit que vous devez choisir trois choses prin­ci­pales pour chaque jour et vous con­cen­tr­er dessus. S’il reste du temps, vous pou­vez pass­er à des tâch­es secondaires.



Récom­pensez-vous lorsque vous avez ter­miné des tâches
Si vous êtes engagé dans un tra­vail mécanique qui né néces­site ni créa­tiv­ité ni inspi­ra­tion, alors il sera effi­cace de vous promet­tre un bon bonus dès que le tra­vail sera ter­miné. Par exem­ple, vous pou­vez aller pren­dre un café avec un dessert lorsque le rap­port est prêt.

Révisez et réfléchissez à vos progrès
Lorsque vous passez péri­odique­ment en revue les listes de tâch­es accom­plies et les objec­tifs que vous avez atteints, c’est comme si vous rece­viez des retours de vous-même. Cela est bon pour votre motivation.

Vous pou­vez égale­ment voir que cer­taines tâch­es n’ont pas été accom­plies depuis longtemps. Il est néces­saire de com­pren­dre pourquoi cela a eu lieu. Vous pour­riez voir un obsta­cle que vous n’aviez pas remar­qué auparavant.

Fix­ez des priorités
Vous né devez pas com­mencer à tout faire en même temps. D’abord, il est préférable de pri­oris­er les tâch­es, par exem­ple, en util­isant la matrice d’Eisen­how­er. Ain­si, vous ver­rez ce qui est impor­tant, mais pas urgent, et ce qui est à la fois impor­tant et urgent. Sur cette base, vous vous con­cen­tr­erez sur les tâch­es ayant le plus haut niveau de priorité.



Soyez flex­i­ble
Gér­er les tâch­es quo­ti­di­ennes néces­site par­fois de mod­i­fi­er les déci­sions qui ont été pris­es aupar­a­vant. Toutes les idées né sont pas tou­jours bonnes. Si quelque chose a soudaine­ment changé dans votre marché, vous devrez très prob­a­ble­ment réa­gir, ce qui sig­ni­fie chang­er quelque chose dans votre tra­vail. La capac­ité d’a­juster le plan d’ac­tion est très précieuse.

Gérez le changement
Le pire qui puisse arriv­er, ce sont des change­ments for­cés qui né sont plus gérables. C’est pourquoi les réu­nions régulières d’équipe sont impor­tantes, ain­si que les rap­ports visuels sur l’é­tat des tâch­es. Ain­si, vous pou­vez remar­quer le prob­lème presque au moment où il est sur­venu. Et apporter les change­ments néces­saires dans l’activité.

Déléguez
Une per­son­ne né peut être pro­duc­tive que jusqu’à un cer­tain niveau. Il y a seule­ment 24 heures dans une journée, et toutes né peu­vent pas être con­sacrées au tra­vail. Par con­séquent, dans la ges­tion des tâch­es, il est très impor­tant de con­naître les forces de chaque mem­bre de l’équipe afin de don­ner des tâch­es à ceux qui peu­vent le mieux les gérer.

Cette solu­tion a deux avan­tages. Tout d’abord, vous éviterez une sur­charge de tra­vail exces­sive et l’épuise­ment de l’équipe. Deux­ième­ment, les gens fer­ont ce qu’ils aiment le plus, aug­men­tant la pro­duc­tiv­ité glob­ale et, très prob­a­ble­ment, per­me­t­tront de trou­ver des moyens non triv­i­aux de résoudre des problèmes.

Utilisez des out­ils de ges­tion des tâches
Si vous avez de nom­breux employés, domaines de tra­vail et tâch­es, il vien­dra un moment où tout devien­dra incon­trôlable. C’est-à-dire que les délais seront dépassés, les bud­gets aug­menteront, les gens s’épuiseront.

Cela est dû à une descrip­tion des tâch­es médiocre, les exé­cu­tants né savent pas leur domaine de respon­s­abil­ité, il n’y a pas de noti­fi­ca­tions sur les délais, et le chef de pro­jet n’a pas de vue d’ensem­ble du pro­jet. Tous ces prob­lèmes sont réso­lus par des out­ils de ges­tion des tâch­es. Vous obtien­drez une représen­ta­tion visuelle des listes de tâch­es de ges­tion et des solu­tions opti­misées pour les accomplir.

Les avan­tages de bons ges­tion­naires de tâches

Comme men­tion­né précédem­ment, les pro­duits de ges­tion des tâch­es sont vrai­ment impor­tants et aident à opti­miser le tra­vail. Voici les avan­tages les plus sig­ni­fi­cat­ifs des ges­tion­naires de tâches :
  • Des for­mu­laires stan­dard­is­és de tâch­es. Cela facilite le tra­vail pour le man­ag­er et toute l’équipe, ain­si que la généra­tion automa­tique de rap­ports sur le tra­vail de l’ensem­ble de l’équipe dans les pro­duits où cela est prévu par la fonctionnalité.
  • Toutes les don­nées au même endroit. Si un grand espace de stock­age est prévu dans le suivi des tâch­es, alors des fichiers assez volu­mineux peu­vent y être stock­és. S’il n’y a pas beau­coup d’e­space, vous pou­vez ajouter un lien vers la tâche, par exem­ple, vers le disque virtuel où le fichi­er est situé.
  • Un tra­vail à dis­tance sim­ple. Avec un suivi des tâch­es, vous pou­vez accéder aux don­nées dont vous avez besoin de n’im­porte où sans être dépen­dant d’un PC de bureau.
  • Sta­tis­tiques du temps con­sacré à des tâch­es typ­iques. Cela sera utile pour plan­i­fi­er de nou­veaux projets.
  • Bonne répar­ti­tion de la charge de tra­vail. Lorsque vous avez une vue d’ensem­ble de toutes les tâch­es et des exé­cu­tants, il est plus facile de voir que quelqu’un a une quan­tité exces­sive de tra­vail, et que quelqu’un est main­tenant presque libre.
  • Gain de temps grâce à l’au­toma­ti­sa­tion. Par exem­ple, des tâch­es régulières peu­vent être attribuées automa­tique­ment sans avoir à accom­plir cha­cune manuelle­ment. Cela peut sem­bler sim­ple, mais avec un grand nom­bre de tâch­es, cela demande beau­coup de temps.
  • Des finances sim­ples. Cer­tains suiv­is de tâch­es vous per­me­t­tent de cal­culer le salaire. Et il y a des entre­pris­es où le paiement dépend des KPI, par exem­ple, du nom­bre de tâch­es clô­turées à temps. Cela sig­ni­fie que le ges­tion­naire de tâch­es est utile dans les deux cas.

Meilleurs logi­ciels de ges­tion des tâches

Chaque entre­prise choisit le pro­duit qui est pra­tique pour l’équipe, accept­able en prix, avec des fonc­tions cor­re­spon­dant aux besoins et car­ac­téris­tiques de l’en­tre­prise. Voici quelques exem­ples de suivi de tâch­es avec de bonnes notes sur Capterra.

Work­sec­tion

Plate­formes : Web, Win­dows, iOS et Android

Fonc­tion­nal­ités : Work­sec­tion est l’un des meilleurs ser­vices de ges­tion des tâch­es. De nom­breux util­isa­teurs prof­i­tent de sa flex­i­bil­ité, de son adéqua­tion pour les grandes et les petites équipes et de son inter­face con­viviale. L’outil est bon pour les équipes Agile et Water­fall.

Les util­isa­teurs aiment des car­ac­téris­tiques telles que le tableau de bord détail­lé, le suivi du temps, les tableaux Kan­ban, les inté­gra­tions avec les sys­tèmes CRM, Google­Docs, Slack, Telegram et Viber.

Le sup­port tech­nique est prêt à répon­dre à vos ques­tions dans les 10 min­utes durant leurs horaires de tra­vail, et dans l’heure durant les heures non ouvrables.

Incon­vénients : le logi­ciel né fonc­tionne pas hors ligne, l’ap­pli­ca­tion mobile néces­site des améliorations.

Tar­i­fi­ca­tion : il y a une péri­ode d’es­sai gra­tu­ite pour 2 util­isa­teurs et 5 pro­jets, l’ac­cès pour 10 util­isa­teurs coûtera 29 $ par mois.

Note sur Capter­ra : 4,9 sur 5.

Asana

Plate­formes : Web, iOS, Android, Win­dows, Mac

Fonc­tion­nal­ités : un suivi des tâch­es basé sur le cloud, avec une inter­face agréable, un cal­en­dri­er pra­tique et de bons rap­ports. Vous pou­vez décrire les tâch­es, fix­er des délais, assign­er des respon­s­ables, attach­er des fichiers et ajouter des commentaires.

Incon­vénients : tous les util­isa­teurs né sont pas sat­is­faits des prix élevés, de nom­breuses fonc­tion­nal­ités né sont disponibles qu’avec des inté­gra­tions, les emails de noti­fi­ca­tion né sont pas tou­jours corrects.

Tar­i­fi­ca­tion : une péri­ode d’es­sai gra­tu­ite avec les car­ac­téris­tiques du plan tar­i­faire Pre­mi­um est disponible, tan­dis qu’une ver­sion payante coûte entre 13,49 $ et 30,49 $ par mois.

Note sur Capter­ra : 4,5 sur 5.

Trel­lo

Plate­formes : Web, iOS, Android, Win­dows, Mac

Fonc­tion­nal­ités : un sim­ple et clair suivi des tâch­es avec une belle visu­al­i­sa­tion, sou­vent choisi par de petites équipes. Les util­isa­teurs appré­cient que les pro­jets et les cartes de tâch­es soient organ­isés sous forme de colonnes, il y a aus­si des flux de tra­vail, des listes, des statuts, des per­son­nes respon­s­ables et une inté­gra­tion avec des ser­vices tiers.

Incon­vénients : si le pro­jet est de grande enver­gure, il sera incon­venant d’y tra­vailler dans ce service.

Tar­i­fi­ca­tion : un accès gra­tu­it aux fonc­tion­nal­ités pre­mi­um est disponible pour se famil­iaris­er avec l’outil, une ver­sion payante coûte entre 5 $ et 17,5 $ par utilisateur/mois ; il existe un plan tar­i­faire entière­ment gra­tu­it sans chronolo­gie de pro­jet ni calendrier.

Note sur Capter­ra : 4,5 sur 5.

Zoho Projects

Plate­formes : Web, iOS, Android.

Fonc­tion­nal­ités : une bonne solu­tion pour ceux qui souhait­eraient com­bin­er un suivi des tâch­es avec une plate­forme de com­mu­ni­ca­tion pour les clients et les mem­bres de l’équipe. Par­mi les autres avan­tages fig­urent les dia­grammes de Gantt, le suivi du temps, les mod­èles, la pos­si­bil­ité de créer des sous-tâch­es et de génér­er des rap­ports détaillés.

Incon­vénients : les inté­gra­tions né sont pas tou­jours cor­rectes, pas facile­ment personnalisables.

Tar­i­fi­ca­tion : vous pou­vez utilis­er une péri­ode d’es­sai gra­tu­ite ou choisir une ver­sion gra­tu­ite pour deux util­isa­teurs et trois pro­jets ; une ver­sion payante pour 50 util­isa­teurs com­mence à 5 € par mois.

Note sur Capter­ra : 4,2 sur 5.

Wrike

Plate­formes : Web, iOS, Android, Win­dows, Mac.

Fonc­tion­nal­ités : cet out­il est générale­ment choisi par les util­isa­teurs qui ont besoin de flux de tra­vail, de for­mu­laires et de rap­ports ana­ly­tiques en temps réel. Les util­isa­teurs appré­cient égale­ment les dia­grammes de Gantt et les fonc­tions de budgéti­sa­tion. L’u­til­i­sa­tion des inté­gra­tions API vous offrira des fonc­tion­nal­ités étendues.

Incon­vénients : cher, dif­fi­cile à con­fig­ur­er, sans sup­port tech­nique rapide.

Tar­i­fi­ca­tion : vous pou­vez tester l’outil gra­tu­ite­ment, il existe égale­ment une ver­sion gra­tu­ite avec un nom­bre lim­ité de tâch­es actives et sans inté­gra­tions ; une ver­sion payante com­mence à 9,80 $ par utilisateur/mois, offrant des inté­gra­tions et une capac­ité de stock­age de 2 Go.

Note sur Capter­ra : 4,2 sur 5.

De nom­breux fac­teurs affectent l’ef­fi­cac­ité de la ges­tion des tâch­es. Pour réus­sir sans stress sans fin, il vaut la peine de suiv­re les recom­man­da­tions ci-dessus. Avec celles-ci, tra­vailler avec l’équipe sera plus agréable, plus rapi­de et plus productif.

esc
Partager sur
или
École PM
Pourquoi le suivi du temps de Worksection est le meilleur choix pour contrôler les ressources de projet Les heures sont enregistrées de mémoire et souvent avec des retards. Les feuilles de temps ne sont...
2 mai 2025   •   8 min read
École PM
Les tâches dispersées à travers les discussions et les tableaux rendent difficile le contrôle de l'exécution du projet. La direction doit passer la majeure partie de son temps à synchroniser l'équipe...
1 mai 2025   •   8 min read
École PM
Le manque de compréhension des délais de projet, des retards constants, des difficultés à coordonner les processus avec les entrepreneurs. Le budget augmente, et le résultat est constamment reporté. C...
30 avril 2025   •   8 min read
Commencez maintenant
Veuillez entrer votre véritable email 🙂