TIW : Personne n'aime la reporting supplémentaire, mais pour notre entreprise, Worksection est nécessaire.

À pro­pos de TIW : DROTR, le pre­mier ser­vice de visio­con­férence avec fonc­tion de tra­duc­tion automa­tique en temps réel, peut être con­sid­éré comme le porte-dra­peau actuel de TIW. Jusqu’à présent, DROTR est un mes­sager pleine­ment opéra­tionnel capa­ble de traduire une con­ver­sa­tion dans 44 langues en mode appel et dans 100 langues en mode chat.

Lorsque vous éval­uez Work­sec­tion comme n’im­porte quel autre ges­tion­naire de tâch­es, il est impor­tant de com­pren­dre — c’est un instru­ment. Et vous devez prin­ci­pale­ment appren­dre à utilis­er tout instru­ment, de plus – pas seule­ment tech­nique­ment, mais en ajus­tant cor­recte­ment l’ensem­ble de la poli­tique compt­able de l’en­tre­prise. Pour un tra­vail effi­cace, vous devez com­bin­er les approches dans tous les départe­ments, de n’im­porte quel mem­bre de l’équipe, afin que cet instru­ment con­vi­enne au tra­vail quo­ti­di­en et actif.

Per­son­ne n’aime le report­ing sup­plé­men­taire. Et le leader doit trans­met­tre que Work­sec­tion = assis­tant. Et il est finale­ment dif­fi­cile de retenir en mémoire tout ce qui doit être fait. Mais lorsque vous voyez les tâch­es et les pri­or­ités, vous n’avez aucun doute sur ce qui doit être fait et quand.

Pour moi, en tant que leader, il est tou­jours impor­tant et pra­tique de con­naître l’é­tat de toutes les tâch­es et de recevoir des mes­sages sur toutes les mis­es à jour en temps utile.

Des ressources telles que Work­sec­tion per­me­t­tent d’é­conomiser du temps, et il est dif­fi­cile de le sures­timer. Parce qu’en pas­sant par les étapes de l’é­tude à l’u­til­i­sa­tion active per­ma­nente, vous com­prenez leur impor­tance cru­ciale. Nous ignorons sou­vent les incon­vénients tant qu’ils exis­tent. Ils sem­blent faire par­tie de la rou­tine due. Mais, dès que vous vous en débar­rassez, vous réalisez pleine­ment le fait de l’entrave.

N’im­porte quel ges­tion­naire de tâch­es peut être com­paré à un sys­tème cir­cu­la­toire san­guin avec un échange de don­nées con­stant, avec des tâch­es trans­mis­es d’une per­son­ne à une autre. L’au­toma­ti­sa­tion de ces proces­sus les accélère et améliore leur efficacité.

Nous avions l’habi­tude d’être unique­ment impliqués dans le développe­ment. Mais main­tenant, notre champ d’ac­tiv­ités est beau­coup plus large. Il est néces­saire d’a­juster les ventes, d’op­ti­miser les proces­sus de développe­ment, d’im­pli­quer active­ment les out­ils de mar­ket­ing et de rela­tions publiques. Les ques­tions tech­niques sont com­binées avec des prob­lèmes juridiques, organ­i­sa­tion­nels et de recrute­ment, etc. Chaque pro­jet a cette nature. De plus, étant don­né que tous nos pro­duits sont inter­con­nec­tés, et que chaque pro­duit est un con­som­ma­teur d’un autre, alors le besoin de con­trôle automa­tique des pro­jets devient plus qu’évident.

La com­mu­ni­ca­tion interne est inévitable. Dans les grandes entre­pris­es, des départe­ments entiers s’oc­cu­pent de ques­tions telles que les rela­tions publiques internes, les pub­li­ca­tions d’en­tre­prise, etc. Notre équipe est encore trop petite pour cela, mais nous recon­nais­sons que nous devons avancer dans cette direc­tion. Il est impor­tant que les per­son­nes ayant com­pris un pro­duit puis­sent égale­ment nav­iguer dans les autres, avec la con­nais­sance des activ­ités de l’en­tre­prise, de sa moti­va­tion et de ses réal­i­sa­tions, car nous for­mons un tout intégré.

Chaque pro­duit est géré par une équipe dis­tincte, et nous n’avons pas tou­jours le temps de partager l’ex­péri­ence entre nous. Cha­cun a ses pro­pres suc­cès et réal­i­sa­tions, cer­tains ont des prob­lèmes, d’autres ont réus­si à les résoudre. Nous essayons donc de traiter ces inco­hérences. Nous avons même embauché un man­ag­er spé­cial respon­s­able unique­ment de l’ad­min­is­tra­tion dans Work­sec­tion : pour super­vis­er l’achève­ment des tâch­es, pour sur­veiller et com­pil­er des rap­ports… En réal­ité, nous gérons toutes les affaires via WS, sauf pour le développe­ment infor­ma­tique. Cela a cer­taines spé­ci­ficités, et nous agis­sons un peu différemment.

L’u­til­i­sa­tion active de Work­sec­tion implique non seule­ment un usage direct du sys­tème, mais aus­si un con­tact con­stant avec les développeurs, car chaque client de WS a des exi­gences indi­vidu­elles, et cha­cun doit con­fig­ur­er le pro­gramme pour s’adapter afin de tra­vailler de manière plus pra­tique et efficace.

Pour les rap­ports, nous avons besoin que les statuts des tâch­es soient claire­ment défi­nis. Par exem­ple, si une tâche a été assignée, et ensuite la déci­sion de l’im­plé­menter a été recon­sid­érée, ou si elle n’est plus impor­tante, que doit-on en faire ? Si nous la fer­mons, elle appa­raî­tra dans le rap­port comme com­plétée. Si nous la sup­p­ri­mons, le temps con­som­mé né sera pas compt­abil­isé. Nous pro­posons d’in­tro­duire le bou­ton “fer­mé comme annulé”. Je pense que ce prob­lème nous con­cerne tous. De plus, nous avons demandé à nos développeurs de créer un sys­tème de rap­pels pour né pas être con­traints d’u­tilis­er des ser­vices tiers.

Mais, en éval­u­ant tout cela, ce qu’il faut recon­naître en pre­mier lieu, c’est que Work­sec­tion rem­plit effec­tive­ment sa fonc­tion. Nous dévelop­pons des pro­duits infor­ma­tiques par nous-mêmes et nous com­prenons qu’il est extrême­ment dif­fi­cile de faire quelque chose d’em­blée pour que tout le monde l’ap­pré­cie, cela néces­site en réal­ité un énorme investisse­ment de temps. Notre tra­duc­teur DROTR peut être cri­tiqué pour cer­taines lacunes, mais il résout le prob­lème, c’est-à-dire qu’il fait ce qu’on exige prin­ci­pale­ment de lui.

Con­sid­érons, par exem­ple, le célèbre Skype. Ils ont été lancés en 2003, main­tenant ils ont des mil­liers de pro­gram­meurs, et ils font quelque chose chaque jour. 15 ans ! Mais le pro­gramme fonc­tion­nait 10 ans, 5 ans aupar­a­vant. À quoi sont occupés des mil­liers de per­son­nes ? Tout le monde impliqué dans l’in­for­ma­tique et les inno­va­tions sait que le pro­duit doit tou­jours être développé.

Ce n’est pas instan­ta­né­ment que nous avons com­mencé à tra­vailler avec Work­sec­tion, nous avons util­isé d’autres sys­tèmes, les avons étudiés. Il y avait des incon­vénients et des points posi­tifs partout.